la vie d'Alix

Ça fait quelques temps que je suis en contact avec un homme qui m'a contacté via une fiche couple. Il voulait faire une rencontre bi entre homme. Je suis pas naïf, je sais bien que 9/10, je ne verrais jamais sa femme. Mais bon, je ne vais pas le jeter pour ça forcement.
Après une longue suite de problème, on s'est finalement rencontré chez moi hier. Pour l'instant, mon appart est à peine présentable (c'est un bordel phénoménal ! Il faut vraiment que je mette au rangement). Mais, comme tout se fait dans le secret, on avait pas trop le choix.
Il est une peu nerveux, bien qu'il soit plus grand, plus costaud que moi. Comme il aime ça, il préfère que nous explorions nos corps sous la douche. La mienne n'est pas très pratique (elle ne s'accroche pas au mur), mais qu'importe. On se branle l'un l'autre, on se suce l'un l'autre...
On se sèche un peu, et on va sur le lit. On continue, 69, doigt dans son cul... Il m'avait avoué ne jamais s'être fait prendre le cul. J'ai été, pour une fois, un peu rapide en besogne. Forcément, je suis resté à la porte. Je lui ai proposé mon god, et il se retrouve avec dans le cul. Je le branle en même temps, je le caresse. Je repars, et je réessaie. Et finalement, il dit: "non, elle est trop grosse". C'est bien la première fois qu'on me dit ça. Je me suis toujours considéré comme étant dans la moyenne. J'en ai vu des plus grosses, et des plus petites, à peu près en même proportion. Et d'habitude, ça rentre à peu près partout. Mais là, je crois qu'effectivement, j'ai peut-être un peu exagéré. Pas en taille, mais pour une première fois, c'était un peu trop d'un coup.
Finalement, il s'est branlé, et moi à côté, je lui ai mis mes doigt dans le cul. J'ai jouis pratiquement sans me branler. Assez étrange comme sensation. Lui, il n'a pas pu venir. Il est apparemment lent à jouir. C'est un avantage en temps normal, mais là, la crampe du poignet guettait
Finalement, nous avons discuté poker autour d'un verre, avant qu'il ne reparte.
Je pense que je ne le reverrai pas. Non pas qu'il soit désagréable, au contraire, mais je pense que nous prenions un vrai plaisir ensemble.

Un de mes anciens amants que je rencontre parfois, m'a invité jeudi soir. On aurait bien fait venir Horatio, mais la date ne lui convenait pas. Cependant, Léon, est parvenu à convaincre une de ces connaissances, Rig de venir avec nous.
Je me retrouve donc jeudi soir, chez Léon. Comme d'habitude, je me mets immédiatement à poil. Rig est déjà là, et il bande déjà. Je demande s'ils n'ont pas commencé sans moi. Pas du tout. Alors ça doit être la joie de me voir
On discute quelques minutes. Rig est vietnamien, imberbe, glabre, sauf le sexe qui est un peu poilu. Après un petit apéritif, on commence les choses sérieuses. On se suce, on s'embrasse, on se touche,...
Au moment de prendre le cul de Rig, je me rends compte que je suis loin d'avoir la vigueur requise. Léon, qui est plutôt passif, se dévoue pour me suppléer. De le voir enculé Rig pendant qu'il me suce m'excite terriblement. Je prends donc la place de Léon et je lui prendre doucement le cul.
Après l'effort, le réconfort . On dine ensemble, et on prend un deuxième dessert  Léon est tellement excité qu'il part devant Pas grave. J'adore le corps de Rig, le caresser, l'embrasser, le sucer,... Léon regarde en attendant de retrouver du tonus. Je n'en peux plus, je reprends le cul de Rig. Il suce Léon.
On en peut plus. Rig et moi discutons un peu pendant que Léon prend sa douche. Il m'explique, le Vietnam, la première femme, castratrice qui l'a fait quitter la gente féminine, son travail, son compagnon tyrannique... Il doit rentrer tôt, car il l'attend. Il reste avec lui pour le logement, mais pas pour les sentiments.
Léon et moi restons ensemble pour la nuit. Au matin, on recommencera ensemble.
L'expérience à trois, j'avais déjà fait, avec un couple d'homo. C'est un peu spécial, mais très agréable. En plus, j'ai découvert un corps magnifique. Je voudrais pas faire mon F. Mitterand, mais il avait vraiment 40 ans et en faisait la moitié. J'ai pris un pied génial.