Il faut que je vous raconte mes vacances au Ran du Chabrier.
D'abord, je pense que l'année prochaine sera la fin de ce lieu idyllique. Cet année déjà, on a frôlé l'explosion sous l'affluence. Et si ce genre de lieu, comme un club, est triste à mourir s'il n'y a personne, il est invivable s'il y a foule. Les querelles de voisinage se multiplient, les rancoeurs s'accumulent... J'y retournerai probablement l'année prochaine, mais je crains fort que ce ne soit plus la même chose.
J'y suis allé de fin juillet à la mi-août. Il faut constater que les français arrive le 1er août et pas avant En juillet, les néerlandais trustent le camping. (A tel point que nous nous sommes fait la réflexion qu'il faudrait aller aux Pays-Bas en juillet pour savoir qui reste là-bas. Ils sont tous en France )
Allongé tranquillement dans ma chaise, en train de lire un livre, une femme passe en courant, dépasse la fontaine à c^pté de ma tente, s'arrête brusquement et fait demi tour en baragouinant "Je regarde les beaux hommes, et je fait pas attention". Elle va boire à la fontaine. Elle s'appelle Joséphine, c'est une quinqua et elle est un peu barré. Comme je parle pas trop mal anglais, (même si je me suis aperçu que je m'étais rouillé ) nous avons pu converser. Elle m'a accompagné tout au long des ces vacances, et pas pour la baise.
Elle était avec un ami, qui n'était pas son compagnon, plutôt un camarade de jeu. Un matin, nous fîmes une courte randonnue le long de la rivière. Après avoir déjeuné à leur tente, elle et moi sommes allée nous remettre de nos efforts dans la tente. Ce fut très doux, très tendre. Nous nous sommes caressé, touché, mais elle ne m'a pas sucé par exemple. Elle n'a pratiquement pas de poitrine, et est grande et mince. Quand vient le moment de la pénétration, un petit coup de mou se fait sentir, parce que j'ai voulu trop faire durer. Heureusement, son copain s'est glissé dans la tente et a l'idée de me toucher les boules. Ça a tendu la situation si je puis dire, assez pour finir le travail.
Nous avons beaucoup traîner pendant ces vacances, mais nous n'avons pas eu d'autre activités sexuelles. Sauf, le dernier soir, où elle a tenu à me faire un strip-tease d'enfer.
Je crois qu'elle tient un peu trop à moi d'ailleurs, et que je ne sais pas lui dire non de peur de la blesser, mais je crois aussi qu'elle l'a compris. De toute façon, les kilomètres qui nous séparent sont une protection suffisante, je pense
Je vous raconterai la suite une autre fois, surtout que le retard commence à être important, j'ai repris les rencontres.
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